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Vous avez du mal à vous décider. Vous intellectualisez ce que vous faites. Vous ruminez et vous vous posez 1000 questions. Vous avez l'impression que ce n'est pas le bon moment de vous lancer dans un futur projet ...


STOP. Ouvrez bien grandes vos oreilles et écoutez-moi (attention, je vais crier ...).


AUJOURD'HUI est le meilleur moment pour démarrer.


Oui, vous avez bien entendu. C'est aujourd'hui que vous allez commencer. Et plus précisément, juste après avoir lu les propos qui suivent.


Vous allez d'abord répondre honnêtement à la question suivante: "combien de fois avez-vous accompli des choses en vous sentant totalement prête?"


C'est bien ce qu'il me semblait car nous nous sentons rarement vraiment prêtes.


Les circonstances sont peu idéales, la motivation n'est pas au rendez-vous, le signal de départ "GO" se fait timide. Bref, toutes les excuses sont bonnes pour ne pas essayer.


ET SI VOUS AGISSIEZ AVANT DE REFLECHIR!


A force de cogiter, de ruminer, de ressasser, vous n'entrevoyez plus que des obstacles. Vous l'avez déjà certainement expérimenté, les incertitudes, les inconnues ne disparaissent généralement pas avec la réflexion. Elles ne font que consommer notre temps qui est précieux.


Ce qui est fabuleux, c'est qu'en passant à l'action, la motivation refait surface ET vous apprenez, vous vous améliorez, vos compétences s'aiguisent intensifiant votre confiance en vous. C'est merveilleux, n'est-ce pas!


N'attendez donc plus la motivation, ni le moment parfait, passez à l'action MAINTENANT, avancez, avisez, réajustez vos actions si le résultat ne vous satisfait pas et ne vous arrêtez que lorsque vous arriverez là où vous le souhaitiez.



Je me demande à partir de quel âge ça devient déplacé de dire: «Hé les filles, regardez-moi!» (tout en souriant fièrement de ce que vous faites, de ce que vous accomplissez, de ce que vous êtes,...) ? Il y a quelques jours, lors d'une promenade en famille, mon filleul de 4 ans, Maxence (qui est absolument charmant et je suis tout à fait objective) se met à sautiller avec ses bottes et ses yeux pétillants et me dit: "marraine, REGARDE".


Vous vous doutez que j'étais sous le charme (en plus j'adore quand il m'appelle marraine, chez lui ça sonne super bien). Je l'ai encouragé, félicité.


JE M'INTERROGE

  • Si vous agissiez comme mon filleul, combien de personnes vous célèbreraient?

  • Qu'est-ce qui vous empêche de partager vos petits succès avec les autres?

  • Auprès de combien de femmes pouvez-vous vanter vos triomphes?

Nous avons tendance à minimiser nos réussites, nos victoires, nos réalisations:

"Merci, c'est gentil mais c'est 3 fois rien"

"Tu sais, ce n'était pas si compliqué"

"Je n'ai pas beaucoup de mérite, je n'étais pas seule"...


Nous nous dévalorisons pour ne pas briller et ne pas mettre les autres mal à l'aise.

Mais qu'apportons-nous au monde en nous dévalorisant? Si nous laissions notre lumière intérieure briller, nous donnerions aux autres la permission d'en faire autant.


Nous sommes toutes et tous conçus pour briller.


Inversément, lorsque nous traversons des moments difficiles, nous nous comparons aux autres (enfin aux meilleures parties de leur vie et non pas à l'entièreté) et nous craignons de nous montrer fragiles.


D'un côte, nous n'osons pas dévoiler notre "grandeur" et de l'autre, nous sommes gênées de montrer notre fragilité.


Que diriez-vous de commencer à célébrer nos victoires, à les partager avec nos proches. Cela nous permettrait ensuite de demander plus facilement du soutien lorsque nous nous sentirions vulnérables, d'oser nous montrer telles que nous sommes avec nos qualités et nos imperfections (qui sont charmantes).


Osons nous montrer honnêtes, humbles, brillantes et authentiques! Partageons nos victoires tout autant que nos déboires.



La bienveillance, la générosité sont des qualités que j'adore chez moi et je ne voudrais en aucun cas les échanger.


Mais j'avoue que quand j'étais ado, je me suis demandé si ma gentillesse n'était pas perçue comme un signe de faiblesse, comme de la naïveté. Allais-je être prise au sérieux?


Vous vous êtes déjà posé ce genre de questions?


Aujourd'hui, je vous répondrais sans l'once d'une hésitation que la gentillesse est une MAGNIFIQUE QUALITE, une force, une vertu.


Et n'allez surtout pas réprimer votre nature profonde, ce n'est pas une option!

Ne supprimez jamais une partie de ce que vous êtes pour mieux vous intégrer. Ceci vous mènera droit à la dépression ou à la médiocrité.


Ignorez les personnes qui considèrent vos forces comme des faiblesses.

Elles ne vous aideront pas à vous épanouir. Entourez-vous plutôt de personnes qui apprécient vos qualités.


Gardez votre esprit et votre coeur ouverts. Soyez fière de la personne que vous êtes. Votre gentillesse est contagieuse et elle permettra à d'autres de dévoiler la leur.


Être gentil est avant tout un souhait personnel, une envie de faire plaisir, sans rien attendre en retour. Vous ne le faites en effet pas pour recevoir des remerciements. Et d'ailleurs, si ça tombe, votre acte de gentillesse ne fera même pas plaisir à l'autre personne (qui n'a d'ailleurs rien demandé).


Petite précision tout de même, la gentillesse, c'est accéder aux désirs des autres mais également des SIENS. Il ne faudrait pas s’oublier. C’est une bonne chose d’être à l’écoute des besoins des autres mais il faut également écouter ses propres souhaits, être bienveillante envers soi-même !


Bref, la gentillesse est un trésor qui aide à grandir, à avoir confiance en soi et dans les autres. Et, de plus, la gentillesse contribue au bonheur !


"Gardez bien en vous ce trésor, la gentillesse. Sachez donner sans retenue, perdre sans regret, acquérir sans mesquinerie." George Sand

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