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Il y a des moments dans la vie où nous avons besoin de quelqu'un pour nous aider à traverser une situation difficile et pourtant nous n’osons pas demander de l’aide.


Nous avons peur de paraître émotionnellement faibles, nous ressentons le besoin de tout contrôler, de devoir paraître parfait(e)s, de tout gérer nous-mêmes.


Nous préférons parfois sombrer dans l’épuisement plutôt que de demander de l’aide qui serait synonyme de faiblesse, honte, culpabilité.


Et pourtant, demander de l’aide est au contraire un acte de courage ! Cela nous oblige à admettre que nous ne sommes pas aussi fort(e)s et indépendant(e)s que nous le pensions. C’est prendre conscience de nos limites à un moment donné.


Trouver le courage de partager nos peurs, nos problèmes, aide à renforcer la confiance en nous.


Lors de mon premier grand chagrin d’amour, j’avais le cœur brisé, j’avais l’impression que je ne m’en remettrais jamais, que ma vie était foutue. Au bout du rouleau, j’ai été voir mon frère qui visiblement ne savait pas très bien quoi me dire. Il s’est donc contenté d’une tape sur mon épaule et m’a ensuite demandé si j’allais mieux. J’ai trouvé cela tellement décalé et à la limite maladroit mais super touchant et drôle que nous sommes partis dans un fou rire.


Nous sommes tou(te)s dignes d’être aidé(e)s, il n’y a ni honte, ni culpabilité à avoir.


En osant demander de l’aide, cela nous permet d’aller de l’avant au lieu de rester coincé(e)s dans une situation inconfortable. Nous apprenons une nouvelle façon de faire face aux défis, nous découvrons de nouvelles stratégies et des solutions que nous n’aurions pas trouvées nous-mêmes. Cela nous permet de rebondir et repartir plus fort(e)s et plus confiant(e)s.


Demander de l’aide n’est donc pas un signe de faiblesse. C’est l’une des choses les plus courageuses que vous puissiez faire.


Une petite main sur l’épaule, une conversation avec un proche, quelques séances chez un(e) professionnel(le) peuvent faire toute la différence !




Devons-nous nous soucier de la manière dont les autres nous jugent et vivre une vie qui réponde à leurs attentes ?


Nous sommes des créatures sociales: être accepté, reconnu, aimé est un désir humain fondamental. Dès notre plus jeune âge, nous avons été conditionnés à estimer notre valeur à travers le regard de nos parents.


Il semble donc utopique de croire que nous pouvons nous détacher totalement du regard des autres.


Cependant, nous avons tendance à trop nous soucier de ce que les autres peuvent penser de

nous, ce qui influence nos comportements, nos émotions: la manière dont nous nous habillons, ce que nous éprouvons, les décisions que nous prenons, les actions que nous entreprenons,...


Ce regard des autres nous prive de liberté, altère notre confiance en nous, notre estime de nous, nous limite, nous paralyse.


Se libérer du regard des autres est donc capital pour vivre une vie épanouie, renforcer sa confiance en soi, révéler son potentiel.


Pour ceux et celles qui souhaitent se libérer du regard des autres, j'ai créé une formation en ligne que vous pouvez suivre où et quand vous le désirez.


Cette formation vous aidera à reprendre les commandes de votre vie, à vivre pleinement.


Si vous voulez en savoir davantage, je vous ai préparé une petite vidéo de présentation. Il vous suffit de cliquer ici.


Si vous ne vivez pas votre vie pour vous-même, qui le fera pour vous?


Avez-vous déjà eu tellement peur d'échouer que vous avez décidé de ne rien tenter du tout ?


Nous sommes nombreux à avoir vécu cela à un moment de notre vie. La peur d’échouer peut être paralysante.


La peur est inévitable et nous ne pouvons pas échapper à l'incertitude. Les résultats de nos efforts sont incertains.


Il est donc tout à fait normal d'avoir des peurs et des moments de doute. Mais lorsque nous permettons à la peur de diriger notre vie, le risque est grand de passer à côté d’opportunités.


En effet, ne pas faire des choses de peur d’échouer n’aide pas à grandir, ni à s’épanouir.


Bonne nouvelle, même si la peur vous a paralysé(e) par le passé, il n’est pas trop tard pour l’explorer et la surmonter.


Avant tout, demandez-vous ce que signifie l’échec pour vous. Définissez-le avec vos propres mots. Si pour vous, l’échec est le fait de ne pas obtenir le résultat espéré, demandez-vous si ce que vous obtiendrez ne peut pas être considéré comme un apprentissage.


Ensuite, répondez aux questions suivantes :

1. Qu’est-ce qui me retient vraiment ?

2. Qu’est-ce que cette peur m’empêche de réaliser ?

3. Qu’est-ce que je créerais ou tenterais dans ma vie si cette peur n'était pas un problème ?


En répondant à ces questions, vous allez peut-être prendre conscience que cette peur d’échouer vous éloigne d’opportunités et que l’inaction est plus préjudiciable.


Personnellement, la peur la plus insupportable est celle qui m’empêche de vivre ma vie, d'échouer par défaut en n'osant pas essayer.


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